​La pratique du Mandala est guidée dans un processus qui commence par de simples coloriages pour évoluer vers des créations personnelles, avec un choix de matériaux à découvrir au fur-et-à-mesure. Ses bienfaits sont nombreux et opèrent automatiquement en nous. Tout le monde est à égalité dans cette pratique, qu'on l'aborde d'une façon ludique ou que l'on recherche l'harmonie et le bien-être intérieur.

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Il suffit de se laisser guider par sa propre créativité et d'exprimer par les formes, les couleurs, les symboles, les merveilles que nous portons en nous, dans la joie et le plaisir de l'instant présent.​

Quel que soit le mandala, on retrouve un centre et un contenant.

Le contenant est souvent un cercle mais cela peut être un carré ou un losange. Le centre est le milieu d'un espace donné, le point posé dans cet espace.

Il permet de :

• le définir

• l'organiser

• auquel se rajoute le temps.

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Le centre immobile et immuable sert à l'organisation du monde qu'il structure (axe du monde). C'est le point d'où tout part et où tout revient. Le poser et se relier à lui, c'est éviter de se perdre dans l'immensité. Le contenant est une donnée essentielle qui constitue l'unité, quelle que soit la forme géométrique du mandala.

Délimiter le dedans et le dehors crée des territoires distincts... Il instaure des modes relationnels :

• ​Défenses et projections

• Ouverture et perméabilité

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Permettant des échanges entre le besoin de contact et le besoin de protection. Peu importe la forme du mandala, l'essentiel est qu'il y ait une délimitation. Défusionner le dedans du dehors permet d'établir de vraies relations avec le monde extérieur.